RETOUR A NAVACELLES
Nous voici de retour et faisant fi de la chronologie du voyage, voici un clin d'oeil à l'avant départ et aux préoccupations d'alors.
Certains d'entre vous avaient peut-être noté l'apparition subreptice du cirque de Navacelles sur un blog ami dont la dernière traînée de comète peut encore se voir quelques heures. C'est qu'en juillet dernier, sous la conduite de Karagar, un petit groupe d'apprentis comédiens s'était vu contraint de s'imaginer, nichés qu'ils étaient au creux d'un vert pré armoricain, dans l'aridité de Navacelles... Je me devais donc de ramener quelques images de cet endroit fascinant qui m'a inspiré quelque fantaisie théâtrale. Ce jour là Navacelles était brûlant comme dans la mémoire réinventée, la région plus désertique encore que dans le souvenir.
Un porte brisant le mur ébloui et encadrant le noir d'une fraîcheur escomptée... presqu'une idée de décor.
Le jardin-oasis, et la murailles sèche à l'arrière. Navacelles est une île à l'envers, de l'eau entourée de sec. D'où l'idée folle d'y faire venir un îlien.
L'incroyable cascade, après avoir traversé des kilomètres quasi texans, est inimaginable.
Enfin, l'essentiel: le village double et affronté, le no man's land au milieu...