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EN ALAN AR MEURVOR
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9 janvier 2012

OU SONT PASSES LES ZIZIS

J’ai souvent eu l’occasion d’expliquer que les fleurs doubles, triples, imbriquées ou toute autre forme de prolifération des pétales étaient des anomalies (sélectionnées par l’horticulteur) qui se forment au détriment des étamines. On voit bien au cœur des roses ou des camélias des choses intermédiaires plus vraiment étamines, pas encore jolis pétales.

Je suis tombé dans ce jardin sur une illustration éloquente du phénomène. Un hibiscus double, sans doute une forme horticole. Repérez, sur ces fleurs normales, où se trouvent les organes masculins.

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Voyez maintenant la fleur en surcharge pétalière, étonnant non !

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Commentaires
K
Cornus> J'ai vu pas mal de bégos sauvages. Toujours étonnant de voir ces plantes qui pour moi sont très synonymes d'aetificialité ds la nature SAUVAAAAAAGE.
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L
Mais oui bien sûr, d'ailleurs je te vois très bien avec une décoration pétalière à la boutonnière.
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K
Plume> Ben tiens, et on a remarqué ma phrase conclusive?
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L
On cherche à gonfler ses statistiques ?
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C
Pas mal en effet, cet étagement. Je ne connais pas suffisamment, mais il me semble que certains Begonia font des choses un peu similaires en apparence. Je n'ai jamais vu ça chez "nos" Malvacées qui ont elles aussi leurs étamines haut perchées. Il me semble que les pétales surnuméraires peuvent être pris sur d'autres organes : incontestablement sur les sépales, mais sans doute aussi sur les carpelles.
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