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EN ALAN AR MEURVOR
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7 avril 2009

LES AVENTURES DE JOB & LENAIG : THE END

La classe avec laquelle je passe le plus (clair de mon) de temps et que je partage occasionnellement avec Mm K. (Je suis obligé de rire en écrivain ce dernier nom, car j’ai constaté avec stupéfaction que Mme K. était le nouveau surnom de celle qui terrorise les futurs enseignants dans notre noble institution et quand j’ai entendu, lundi matin, Gertrude en larmes me parler des agissements de « Mme K. » à son encontre, j’ai eu un instant d’égarement intersidéral), cette classe donc que je pourrais intituler B 0 avait été inaugurée il y a quelques année par une stagiaire exceptionnelle , qui répondait au nom de stagiaire Fromfrom matricule 001. Dès l’année suivante, le niveau ayant baissé, j’entrepris d’écrire une suite de dialogues comme matériel pédagogique adapté. C’était le début des aventures de Job & Lenaig.

La rédaction des dialogues me confronta à la double exigence d’écrire une histoire et d’introduire à chaque nouvel épisode un thème grammatical. La contrainte est parfois motivante. Et puis l’histoire évolua soudain et un meurtre se produisit. Il y eu début d’enquête policière et mystère s’épaississant. Par pure vacharderie, je donnai au méchant de l’histoire le surnom de celui qui, à l’époque, faisait souffrir mon cœur et surtout, modifia à jamais ma vie.

Seulement, l’année scolaire touchait à sa fin, les cours s’arrêtaient et l’histoire n’avait pas eu de résolution. Ceux des anciens qui poursuivaient leurs études dans notre centre, n’avaient de cesse de me réclamer la fin ! Mais elle n’était pas écrite. Cette promesse faite de leur donner un jour la solution de l’énigme me mettait une lourde dette à leur égard. Et puis, récemment, profitant de quelques jours sans face à face pédagogique (sic !!), je termine le récit de l’aventure. Je l’ai déjà offert à Diego qui m’en remercia comme d’une grande faveur (sans pour autant que j’obtienne les siennes, hi !hi !). Et ce matin, c’est au tour de Gertrude d’en être gratifiée, pour la consoler des misères que lui fit Mme K. n° 2. Les remerciements furent là aussi chaleureux.

Jamais je n’aurais imaginé, que deux ans plus tard le suspens des aventures de Job et Lenaig et la Fièvre du Cap Horn, les tenait encore.

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Commentaires
K
Himmel ! je ne sais pas si je vais pouvoir supporter cette innommable confusion !<br /> Sinon, je note un fort intéressant lapsus clavieri à la ligne 3...
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