31 mai 2008
DES LARMES DE COULEURS
Petite visite après plus de vingt ans à de vieux amis qui ont déménagé. Maison plus spacieuse, grande verrière, horloge géante dont le cadran sert de fenêtre à un café.
Paul me séduit plus que je ne l'escomptais, Alfred et les autres réitèrent leur charmes, Claude me réinstalle dans cette joie sereine qu'il m'avait fait découvrir il y longtemps. Mais Vincent, je ne l'attendais pas au tournant, me fait pleurer, irrésistiblement.
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