ROC'H TOULL AL LAERON

To be or not to be, that is the question –

Bezañ pe na vezañ, hennezh eo ar goulenn –

Whether ‘tis nobler in he mind to suffer

Daoust hag uheloc’h ur mennad eo gouzañv

The slings and arrows of outrageous fortune,

Batalmoù ha saezhennoù dismegañsus ur gwall donkad

Or to take arms against a sea of troubles

Pe mont gant armoù a-enep ur lanvad reuzioù

And by opposing end them. To die, to sleep –

Ha teurel outo finvez an unan da eneberezh. Mervel, kousket –

No more; and by a sleep to say we end

Netra ken; hag a-bouez kousket lavarout ez eo fin

The heart-ache and the thousand natural shocks

D’ar boan galon ha d’ur miliad a bistigoù naturel

That flesh is heir to – ‘tis a consummation

A zo herezh d’ar c’hig – sed aze an diwezh

Devoutly to be wished.

A zo da c’hortoz gredus.

Comments

[karagar]

Laouen> Oui, et c'est en voyant que tu en parlais chez toi que j'ai pensé à ce post...

[laouen]

pas lui... pas ce Roc'h là...
j'allais m'y percher, même pas peur du vertige.
Et j'y allais encore plus depuis que des portails en interdisaient l'accès. Je connaissais chaque sentier, même les oubliés.
Ce coin là c'est le coin qui me parlait le plus à 100km à la ronde. Et avec lui un endroit encore plus secret, complètement perdu, de l'autre côté de la route, derrière le manoir. Une clairière lumineuse, près d'un étang paumé.
Et un peu plus haut, une crête sans nom, juste avant d'arriver au hameau de Kudel.
La vie m'a arrachée de coin que j'aime.
C'est dur pour moi de le revoir, mais je suis très heureuse de voir que d'autres ont ressenti ce que chuchote cette pierre là, et qu'ils l' aiment.

[karagar]

Cornus> Oui, c'était mon premier cours de théâtre, j'en aurais peut-être besoin car.... hi!hi!

[Cornus]

Bon, moi je n'ai compris aucune des deux langues évoquées, mais j'ai compris le langage de l'image, sans doute un peu plus universel : magnifique !

[Kridienn]

C'était une blague ! J'aime beaucoup l'anglais aussi ! Chaque langue a sa musique... Le breton, c'est la langue qui est dans mes tripes. Ca ne s'explique pas... C'est là, au fond de moi.