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EN ALAN AR MEURVOR
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21 novembre 2007

MIEUX VAUT PARTICIPER AU CONCOURS KLEGERIEN QU’ÊTRE UN CON PRIS DE COURT ET AVOIR LE GONCOURT QU’ÊTRE CON ET GOURD

Dame Terre de l’île, se trouvant toute guillerette de s’être auto attribuée un nouveau et énième pseudonyme que son manque d’inspiration littéraire momentanée avait poussé à trouver au plus près en traduisant dans celle des langues d’origine latine dont la phonologie fut le plus marquée par le substrat celtique préexistant, le vocable breton de sa ville de résidence sans préalablement en vérifier auprès des autorités compétentes de la faculté de Bretagne Occidentale la signification véritable et ce faisant ignorant les pièges tendus par la toponymie à tout ceux qui croient pouvoir en interpréter les signes grâce à la seule connaissance de la langue moderne, redoutable chausse trappe qui ferait imaginer à un francophone averti une vallée éclairée de cierges à l'origine de Bougival alors que les racines germaniques du terme inciteraient à y reconnaître plutôt une autre version du sinistre Buchenwald dont la forme bretonne est Faouët, où vous verrez sans peine les traces du mot fagus, du latin, auquel les bretons, ayant déjà trop de formes à leur disposition pour dire l’être, empruntèrent le nom de cet arbre vénérable pour lequel les français préférèrent le terme francique de hêtre, tandis que le Buche et le beech des allemands et des saxons, respectivement, renvoient à leur Buch et book car ces sauvages utilisaient la belle écorce de notre fagacée pour écrire ce qui oblige à réviser l’interprétation de la célèbre phrase de Shakespeare « hêtre ou ne pas (avoir de) hêtre » dans le sens d’une pénurie de papier dramatique pour l’écrivain prolixe, se trouvant également fort gaie de son oisiveté après des journées de labeur auprès d’apprenants rétifs à la syntaxe brittonique - Bretagne vacances toniques, dit le slogan – parmi les points de laquelle les mutations consonantiques nécessitent quelques méthodes pédagogiques violentes et expéditives qui l’avaient, il faut bien l’avouer, épuisée, conçut le projet fort alléchant(proposition principale), non sans avoir auparavant caressé la grise moirure d’un chat promu désormais à une grande carrière chez les annonceurs de chefs d’œuvre de la littérature mais dont on peut regretter que la version en filigranes de la jolie tête, en couverture d’un livre, prive les lecteurs d’un aperçu du soyeux de sa chartreuse fourrure, gratouillé la toison d’un canidé aux lointaines origines d’Hibernie dont la teinte évoque irrémédiablement un breuvage légèrement alcoolisé qui était fabriqué autrefois au pied d’un viaduc de la ligne Paris-Brest avant que la brasserie migre en cette ville centrale riche en émotions post littéraires, ni roulé la première et exquise cigarette matinale avec la facilité déconcertante de ceux qui n’y introduisent pas de filtre, d’ouvrir le blog de Maître Karagar dont la seule évocation du nom fait trembler une certaine blogueuse arachnophobe en proie aux menaces bien justifiées de ce dernier qui s’échine à la remettre dans le droit chemin de l’écriture webienne, où ce dernier, au moyen d’une longue et superbe phrase et dans un élan de grande sollicitude qui l’honore, devait lui rappeler, qu’on l’attendait le soir même, autre source d’une ineffable joie, aux agapes mensuelles de son pince fesse favori, qui n’est autre que son club littéraire afin d'y deviser des érections  nocturnes et des wet dreams d'un apprenti moine pris dans les affres d'un doute, après avoir vu une flamboyante et non moins dévote jeune femme ibérique, sur sa possibilité à s'en tenir à la stricte abstinence à la quelle son état l'oblige.

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Commentaires
K
Cornus > Mais tu y penses, tu y penses...he he he...
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C
J'y crois pas. Comment faites-vous ? C'est même pas la peine que je commence à penser d'essayer de m'y mettre.
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K
Problème résolu, nous nous préparons à noctambuler vers les hentoù treuz kozhkeriennes, avant que de rejoindre le pince-fesses culturel.
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K
Ah que je ris ! Au point de devoir répliquer à l'instant même et sur un ton qui pour n'être pas franchement guilleret n'en est pas moins illuminé par le triomphe de l'amouuuuuuuur.<br /> Quand aux érections du cher Arthur, je ne les oublie pas, comment pourrait-on, mais avant d'en partager la fine et collective analyse je me dois de résoudre un problème d'éclairage automobile.
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