4 janvier 2013
MALLOZH
Trois phares sur la pointe de Penmarc'h, de droite à gauche:
Le nouveau, plus que centenaire néanmoins, tout en kersantite et carelé d'opaline à l'intérieur, construction fort dispendieuse financée par un don de la fille du "prince d'Eckmülh", d'où son nom.
L'ancien phare qui n'a servi qu'une cinquantaine d'années
Et la tour de la chapelle Saint Pierre, de la fin du moyen-age, qui servit de phare au XVI ème siècle.
Mais les gens d'Audierne, pleurant un naufrage, chantaient ceci :
Mallozh ! mallozh da Benmarc’hiz
A zalc’h gouloù-noz en o iliz
Vit ma yel d’an aod ‘r batimanchoù
(Malédiction aux gens de Penmarc'h, qui entretiennent un feu dans leur église, pour que les navires aillent à la côte)
Alors premier phare, ou instrument de naufrageurs?
Publicité
Publicité
Commentaires
C
P