FANTAISIE A LA FRANCAISE
Karagar mène ces temps ci, disons modestement cette semaine, une bien drôle de vie. C'est comme s'il était à construire Versailles en journée et le grand Trianon le soir. Aujourd'hui, alors qu'il avait achevé quatorze pièces du château principal, peut-être eût-il mieux convenu de dire quatorze parterres du grand parc, il arrive à cet endroit un peu particulier où pour la première fois le Trianon est visible du château. Et il se dit, qu'il ferait bien de consulter les plans et il fait bien voyez-vous car certains motifs se retrouvent ou se contredisent d'une cellule à l'autre. Il y remédie.
Le Grand Trianon a lui déjà douze pièces. On le croirait presque aussi imposant que la palais mais c'est une erreur car les cellules y sont plus modestes.
Et cette comparaison lui vient car il a commencé un peu à reculons au départ à s’intéresser à Le Nôtre. Et le comprendre ne sera pas une mince affaire, mais il faudra bien !
Vous, vous ne comprenez rien à ma prose. Ne vous en souciez point, c'est normal.