SPQR
Dernière escale italienne, un peu hétéroclite et pas tout à fait chronologique. Nous avons donc beaucoup déambulé dans les rues romaines, au mépris de mon léger état grippal (ce que je devais sans doute payer sur le long terme.) Au hasard des rues:
Çà c'est l'enrée du ministère de l'intérieur. Plutôt accueillant, j'avais même peine à y croire... (notez que le Chamaerops humilis en pot est indigène en Italie.)
Dernière église visitée, Sainte Marie Majeure, une des basiliques majeures (nous ferons l'impasse sur la dernière, la cathédrale de Rome, ayant eu notre content de baroque). L'extérieur pourtant, mis à part son clocher roman, est bien baroque.
Cependant la nef est en partie paléochrétienne, du Vème siècle (colonnade ionique et frise de mosaïques historiées). C'est donc la plus vielle église que je visite.
Sur l'arc de triomphe, d'autres mosaïques paléochrétiennes,
L'abside par contre présente une mosaïque gothique de la fin du XIIIème (couronnement de la Vierge).
Je ne résiste pas au plaisir de vous montrer quelques grâces baroques...
Nous finirons par le Tibre, dont la canalisation et les quais ont parfois un air un peu parisien mais qui parfois a gardé quelques traits "sauvages" et auprès duquel nous avons trouvé, un soir notamment, un peu de calme bienvenue dans cette ville grouillante.